Festival de Cannes 2016

  • Fantôme contre smartphone Maureen est « acheteuse de mode » pour des personnalités médiatiques. Elle a également un frère jumeau, Lewis, qui vient de mourir. Parallèlement à ses visites dans...

    Personal Shopper, d’Olivier Assayas

    Fantôme contre smartphone Maureen est « acheteuse de mode » pour des personnalités médiatiques. Elle a également un frère jumeau, Lewis, qui vient de mourir. Parallèlement à ses visites dans...

    Lire la suite...

  • Malgré un beau score au Scrabble, le nom de Sébastien Lifshitz s’est peu à peu imposé dans le monde du film documentaire, notamment après la sélection des <em>Invisibles</em> à Cannes en 2012...

    Rencontre avec Sébastien Lifshitz

    Malgré un beau score au Scrabble, le nom de Sébastien Lifshitz s’est peu à peu imposé dans le monde du film documentaire, notamment après la sélection des Invisibles à Cannes en 2012...

    Lire la suite...

  • C’est un poème en prose qui déroule sa douce mélodie, ses vibrations, ses variations subtiles et son élégance. Un haïku charmant aux premiers abords, qui se révèle fabuleux au fur et mesure qu'on...

    Paterson, de Jim Jarmusch

    C’est un poème en prose qui déroule sa douce mélodie, ses vibrations, ses variations subtiles et son élégance. Un haïku charmant aux premiers abords, qui se révèle fabuleux au fur et mesure qu'on...

    Lire la suite...

  • Sans doute suis-je encore grisé par les effets de ma première fois, mais ce Festival de Cannes m’enchante. Peut-être que cette félicité retombera aussi rapidement qu'une starlette en Louboutin...

    Humeur cannoise #4 : Stars sans académie

    Sans doute suis-je encore grisé par les effets de ma première fois, mais ce Festival de Cannes m’enchante. Peut-être que cette félicité retombera aussi rapidement qu'une starlette en Louboutin...

    Lire la suite...

  • <em>Poesia sin fin</em> marque la huitième collaboration entre le maître Alejandro Jodorowsky et son fils Brontis. Un film apaisé où Alejandro se réconcilie avec son propre père...

    Rencontre avec Brontis Jodorowsky

    Poesia sin fin marque la huitième collaboration entre le maître Alejandro Jodorowsky et son fils Brontis. Un film apaisé où Alejandro se réconcilie avec son propre père...

    Lire la suite...

  • En 2012, Rachid Djaïdani présentait, avec succès, <em>Rengaine</em> à la Quinzaine des réalisateurs – une sorte de <em>Roméo et Juliette</em> des temps modernes, mettant le doigt sur le racisme intercommunautaire...

    Rencontre avec Rachid Djaïdani

    En 2012, Rachid Djaïdani présentait, avec succès, Rengaine à la Quinzaine des réalisateurs – une sorte de Roméo et Juliette des temps modernes, mettant le doigt sur le racisme intercommunautaire...

    Lire la suite...

  • Ados de la route - Chez Andrea Arnold, on ne prend jamais les mêmes et surtout on ne recommence pas. Après son « puzzle » d’écrans vidéo dans les bas-fonds de Glasgow (<em>Red Road</em>), après...

    American Honey, d’Andrea Arnold

    Ados de la route - Chez Andrea Arnold, on ne prend jamais les mêmes et surtout on ne recommence pas. Après son « puzzle » d’écrans vidéo dans les bas-fonds de Glasgow (Red Road), après...

    Lire la suite...

  • Sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs 2016 Qui ? Sólveig Anspach a égrené son cinéma de son histoire personnelle, qu’il s’agisse de ses origines islandaises – avec notamment la complicité...

    L’Effet aquatique, de Sólveig Anspach

    Sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs 2016 Qui ? Sólveig Anspach a égrené son cinéma de son histoire personnelle, qu’il s’agisse de ses origines islandaises – avec notamment la complicité...

    Lire la suite...

  • Qui ? Pedro Almodovar, c’est un peu le Poulidor de Cannes. Toujours sélectionné ou presque depuis 1999 et Tout sur ma mère (La Mauvaise Education a même eu l’honneur de...

    Julieta, de Pedro Almodovar

    Qui ? Pedro Almodovar, c’est un peu le Poulidor de Cannes. Toujours sélectionné ou presque depuis 1999 et Tout sur ma mère (La Mauvaise Education a même eu l’honneur de...

    Lire la suite...

  • Le cinéma de Koji Fukada, c’est cette douceur apparente dissimulant de multiples tensions en filigrane. Douceur de vivre, des cadres, des mouvements. Tensions intimes, sociales, écologiques…

    Harmonium, de Koji Fukada

    Le cinéma de Koji Fukada, c’est cette douceur apparente dissimulant de multiples tensions en filigrane. Douceur de vivre, des cadres, des mouvements. Tensions intimes, sociales, écologiques…

    Lire la suite...

  • Gabrielle (Marion Cotillard) vit avec sa sœur et ses parents dans le domaine familial de Provence. Elle souffre de calculs rénaux – mais c’est plus joli en les appelant « mal de pierres ».

    Mal de pierres, de Nicole Garcia

    Gabrielle (Marion Cotillard) vit avec sa sœur et ses parents dans le domaine familial de Provence. Elle souffre de calculs rénaux – mais c’est plus joli en les appelant « mal de pierres ».

    Lire la suite...

  • Un clic pour une claque Lui est professeur d’histoire. Elle, travaille pour les impôts. Quadragénaires, ils n’ont pas d’enfant mais en désirent un ardemment, au point de se lancer dans...

    Albüm, de Mehmet Can Mertoglu

    Un clic pour une claque Lui est professeur d’histoire. Elle, travaille pour les impôts. Quadragénaires, ils n’ont pas d’enfant mais en désirent un ardemment, au point de se lancer dans...

    Lire la suite...

  • L’échappée belle - Valeria Bruni-Tedeschi avance, majestueuse, ombrelle à la main, distillant réprimandes à ceux qui croisent son chemin. Dès cette première séquence, le personnage est campé...

    Folles de joie, de Paolo Virzi

    L’échappée belle - Valeria Bruni-Tedeschi avance, majestueuse, ombrelle à la main, distillant réprimandes à ceux qui croisent son chemin. Dès cette première séquence, le personnage est campé...

    Lire la suite...

  • <em>« Loïe Fuller : l’icône de la Belle Epoque »</em>… C’est à la lecture de cette simple note apposée au bas d’une photographie noir & blanc que Stéphanie di Giusto a eu envie d’en savoir plus sur cette jeune fille...

    La Danseuse, de Stéphanie di Giusto

    « Loïe Fuller : l’icône de la Belle Epoque »… C’est à la lecture de cette simple note apposée au bas d’une photographie noir & blanc que Stéphanie di Giusto a eu envie d’en savoir plus sur cette jeune fille...

    Lire la suite...