À propos de l'auteur : Clément Arbrun

Né à Alphaville. Mogwai et de mauvais esprit, tendance Gremlin, pour le coup. Aime Pierrot le fou, Vidéodrome, On connaît la chanson (de Michael Bay), Bad Boys 2 (celui de Resnais, évidemment), Little Nicky, les films romantiques, les films d’Adrian Lyne, ceux de Joe Dante et de Spielberg/Emmerich, la scène du baiser dans Moonrise Kingdom, la sincérité d’Adam Sandler, le gag des sponsors dans Wayne’s World 2, Frank Drebin qui tue un dealer en se garant, les jambes de Jean Seberg, le recueil de vieux journaux lu par Doc Brown dans Retour vers le futur 2, la mise en scène paralysante de Mort ou vif, le thème original de Elmer le remue-méninges, la musique classique chez John McTiernan, le clin d’œil de John Travolta à la fin de Basic, le sweat-capuche de Kevin Bacon dans Hollow Man, les publicités de Starship Troopers, le fuck off de Ricky Gervais durant le dénouement de The Office, le travelling circulaire dans Blow Out, le plan-séquence du Bûcher des vanités, la voix off douloureusement coupée de Joe Pesci dans Casino, l’intelligence de John Hugues, la leçon d’amitié qu’est Dumb & Dumber, l’humanisme des Evadés, le regard porté sur les étoiles qui fait de Men in Black un film poétique, la nuit de Collatéral et celle de Heat, la bonne critique cinéma, Presque célèbre, le kart comme madeleine de Proust dans Clerks 2, les gens point seulement ouverts sur leur propre autosuffisance. Point commun avec Jerry Bruckheimer : est obsédé par les couchers de soleil.

Écrit par Clément Arbrun