drame

  • Paolo Sorrentino l'avoue bien volontiers : <em>"[…] ma connaissance des Etats-Unis, en dépit des nombreux voyages que j'y ai fait dans l'arrière-pays, reste encore celle d'un touriste."</em> Pour...

    This Must be the Place, de Paolo Sorrentino

    Paolo Sorrentino l'avoue bien volontiers : "[…] ma connaissance des Etats-Unis, en dépit des nombreux voyages que j'y ai fait dans l'arrière-pays, reste encore celle d'un touriste." Pour...

    Lire la suite...

  • Je ne m'en suis toujours pas remis… Entre le crépuscule du XIXe siècle et l'aube du XXe, une maison close s'évertue à garder ses portes ouvertes. Entre ses murs, une mère maquerelle et ses douze...

    L’Apollonide, souvenirs de la maison close, de Bertrand Bonello

    Je ne m'en suis toujours pas remis… Entre le crépuscule du XIXe siècle et l'aube du XXe, une maison close s'évertue à garder ses portes ouvertes. Entre ses murs, une mère maquerelle et ses douze...

    Lire la suite...

  • Alors que l'on glose beaucoup sur la violence montrée cette année à Cannes, <em>Les Crimes de Snowtown</em> détonne par la justesse de son regard. Oui, juste. N'en déplaise à tous ceux...

    Les Crimes de Snowtown, de Justin Kurzel

    Alors que l'on glose beaucoup sur la violence montrée cette année à Cannes, Les Crimes de Snowtown détonne par la justesse de son regard. Oui, juste. N'en déplaise à tous ceux...

    Lire la suite...

  • Depuis le début de ce festival, j'attends le choc. La claque. L'évidence. Et pendant une bonne partie du film, <em>Play</em> aurait pu être celui-là. Aurait dû être celui-là, si l'épilogue ne...

    Play, de Ruben Östlund

    Depuis le début de ce festival, j'attends le choc. La claque. L'évidence. Et pendant une bonne partie du film, Play aurait pu être celui-là. Aurait dû être celui-là, si l'épilogue ne...

    Lire la suite...

  • A Cannes (et par extension, aux projections organisées pour la presse), plusieurs choses permettent de se faire une idée d’un film : quand beaucoup de monde quitte la salle avant la fin de la projection...

    Hors Satan, de Bruno Dumont

    A Cannes (et par extension, aux projections organisées pour la presse), plusieurs choses permettent de se faire une idée d’un film : quand beaucoup de monde quitte la salle avant la fin de la projection...

    Lire la suite...

  • Il est suffisamment rare de voir un film australien sur nos écrans pour s’en réjouir. Enfin, par « australien », je veux dire « natif », sur l’Australie, sur les Aborigènes, habitants du « temps...

    Toomelah, d’Ivan Sen

    Il est suffisamment rare de voir un film australien sur nos écrans pour s’en réjouir. Enfin, par « australien », je veux dire « natif », sur l’Australie, sur les Aborigènes, habitants du « temps...

    Lire la suite...

  • Sobre, efficace, le premier film de Markus Schleinzer, <em>Michael</em>, sur un pédophile séquestrant un môme d’une dizaine d’années dans sa maisonnette verdâtre de banlieue autrichienne emprunte à...

    Michael, de Markus Schleinzer

    Sobre, efficace, le premier film de Markus Schleinzer, Michael, sur un pédophile séquestrant un môme d’une dizaine d’années dans sa maisonnette verdâtre de banlieue autrichienne emprunte à...

    Lire la suite...

  • <em>Noir océan</em> est un film très bleu, très doux au thème très violent. Nous sommes en 1972. A bord d'un navire militaire français en mission dans le Pacifique, les heures passent lentement dans...

    Noir océan, de Marion Hänsel

    Noir océan est un film très bleu, très doux au thème très violent. Nous sommes en 1972. A bord d'un navire militaire français en mission dans le Pacifique, les heures passent lentement dans...

    Lire la suite...

  • L'écran est divisé en deux. Comme un inconscient qu'on refuse d'écouter, les coups de marteaux frappent. Le mur tient bon, ignore la douleur. Finit par céder. D'abord des miettes de ciment...

    L’Homme d’à côté, de Mariano Cohn et Gaston Duprat

    L'écran est divisé en deux. Comme un inconscient qu'on refuse d'écouter, les coups de marteaux frappent. Le mur tient bon, ignore la douleur. Finit par céder. D'abord des miettes de ciment...

    Lire la suite...

  • Au bord de sa vie, une femme décide de changer de route. Rose Mayer, la cinquantaine, presque muette à force d’avoir subi les cris, les silences et les coups de...

    Où va la nuit, de Martin Provost

    Au bord de sa vie, une femme décide de changer de route. Rose Mayer, la cinquantaine, presque muette à force d’avoir subi les cris, les silences et les coups de...

    Lire la suite...

  • "Le cinéma arrête le texte, frappe de mort sa descendance : l’imaginaire. Bon ou mauvais, sublime ou exécrable, le film représente cet arrêt définitif. La fixation de la représentation une fois pour toutes...

    La Solitude des nombres premiers, de Saverio Costanzo

    "Le cinéma arrête le texte, frappe de mort sa descendance : l’imaginaire. Bon ou mauvais, sublime ou exécrable, le film représente cet arrêt définitif. La fixation de la représentation une fois pour toutes...

    Lire la suite...

  • Une fillette se fait passer pour un garçon auprès de ses nouveaux amis. C’est <em>Tomboy</em>, plongée percutante au cœur de l’enfance et de ses troubles naissants. Un pur instant de grâce.

    Tomboy, de Céline Sciamma

    Une fillette se fait passer pour un garçon auprès de ses nouveaux amis. C’est Tomboy, plongée percutante au cœur de l’enfance et de ses troubles naissants. Un pur instant de grâce.

    Lire la suite...

  • Téléfilm inédit hors d’Allemagne, écrit et réalisé en 1976 par Rainer Werner Fassbinder, <em>Je veux seulement que vous m'aimiez</em> sort enfin en salle le 20 avril...

    Je veux seulement que vous m’aimiez, de Rainer W. Fassbinder

    Téléfilm inédit hors d’Allemagne, écrit et réalisé en 1976 par Rainer Werner Fassbinder, Je veux seulement que vous m'aimiez sort enfin en salle le 20 avril...

    Lire la suite...

  • La blague est bien connue : la France a choisi le coq pour emblème car c’est le seul animal qui chante les pieds dans la merde. Une spécificité bien de chez nous qui s’applique notamment au cinéma...

    Le beau jeu de Beauvois

    La blague est bien connue : la France a choisi le coq pour emblème car c’est le seul animal qui chante les pieds dans la merde. Une spécificité bien de chez nous qui s’applique notamment au cinéma...

    Lire la suite...