Articles au sujet de « mai 2011 »

  • Depuis le début de ce festival, j'attends le choc. La claque. L'évidence. Et pendant une bonne partie du film, <em>Play</em> aurait pu être celui-là. Aurait dû être celui-là, si l'épilogue ne...

    Play, de Ruben Östlund

    Depuis le début de ce festival, j'attends le choc. La claque. L'évidence. Et pendant une bonne partie du film, Play aurait pu être celui-là. Aurait dû être celui-là, si l'épilogue ne...

    Lire la suite...

  • <em>Libération</em> a demandé à des astrologues de prédire la Palme (la nôtre pour l'instant, c'est Terrence Malick, on vous le dit tout de suite. Et on a une réputation dans le domaine...

    Revue de presse du mardi 17 mai

    Libération a demandé à des astrologues de prédire la Palme (la nôtre pour l'instant, c'est Terrence Malick, on vous le dit tout de suite. Et on a une réputation dans le domaine...

    Lire la suite...

  • Jessica Chastain sera certainement l’un des plus beaux souvenirs de ce cru 2011.  L’héroïne de <em>Tree of Life</em> semble avoir été touchée par la grâce. Robe rouge vif, œil vif et humide...

    Souvenir de Cannes #6 : looking for Terry

    Jessica Chastain sera certainement l’un des plus beaux souvenirs de ce cru 2011. L’héroïne de Tree of Life semble avoir été touchée par la grâce. Robe rouge vif, œil vif et humide...

    Lire la suite...

  • Cannes 2011 : vivement le 22 mai Cannes. Un mot. Une destination. Une destinée ? Petite Olympe ensoleillée de notre siècle ou héliotropisme planétaire du mois de mai. Jamais mis...

    (Mauvaise) Humeur cannoise

    Cannes 2011 : vivement le 22 mai Cannes. Un mot. Une destination. Une destinée ? Petite Olympe ensoleillée de notre siècle ou héliotropisme planétaire du mois de mai. Jamais mis...

    Lire la suite...

  • Enfant de Canal +, le Festival de Cannes me fascine depuis mon plus jeune âge. Mais je ne sais pas ce qui opérait à l'époque. La première fois que je suis venue ici, je sais ce qui m'a fascinée. Au...

    Humeur du 17 mai : Cannes 2011, la fin d’un rêve

    Enfant de Canal +, le Festival de Cannes me fascine depuis mon plus jeune âge. Mais je ne sais pas ce qui opérait à l'époque. La première fois que je suis venue ici, je sais ce qui m'a fascinée. Au...

    Lire la suite...

  • A Cannes (et par extension, aux projections organisées pour la presse), plusieurs choses permettent de se faire une idée d’un film : quand beaucoup de monde quitte la salle avant la fin de la projection...

    Hors Satan, de Bruno Dumont

    A Cannes (et par extension, aux projections organisées pour la presse), plusieurs choses permettent de se faire une idée d’un film : quand beaucoup de monde quitte la salle avant la fin de la projection...

    Lire la suite...

  • Robert Guédiguian l'aurait voulu qu'il n'aurait pas pu renier ces <em>Neiges du Kilimandjaro</em>. Après la noirceur de <em>Lady Jane</em> et l'héroïsme de <em>L'Armée du crime</em>...

    Les Neiges du Kilimandjaro de Robert Guédiguian

    Robert Guédiguian l'aurait voulu qu'il n'aurait pas pu renier ces Neiges du Kilimandjaro. Après la noirceur de Lady Jane et l'héroïsme de L'Armée du crime...

    Lire la suite...

  • Mettons tout de suite à l'aise les pleureuses et lamentins de la Croisette, qui gémissent chaque année que les films sont tristes, que les cinéastes sont trop prévisibles, prévient <em>Libération</em>...

    Revue de presse du lundi 16 mai

    Mettons tout de suite à l'aise les pleureuses et lamentins de la Croisette, qui gémissent chaque année que les films sont tristes, que les cinéastes sont trop prévisibles, prévient Libération...

    Lire la suite...

  • Contemplatif, pince-sans-rire, parfois scabreux ou hilarant, le film d’Alejandro Landes raconte l’histoire vécue d’un drôle de terroriste en chaise roulante. Porfirio Ramirez, quinquagénaire colombien...

    Porfirio, d’Alejandro Landes

    Contemplatif, pince-sans-rire, parfois scabreux ou hilarant, le film d’Alejandro Landes raconte l’histoire vécue d’un drôle de terroriste en chaise roulante. Porfirio Ramirez, quinquagénaire colombien...

    Lire la suite...

  • Ah Paris ! (Prononcer "Parisse".) Ses places, ses cafés, son <em>Moulin Wouge</em> et ses voitures à la queue leu leu. « Quand on sait que Paris existe, je ne comprends pas qu'on puisse de son plein gré...

    Minuit à Paris, de Woody Allen

    Ah Paris ! (Prononcer "Parisse".) Ses places, ses cafés, son Moulin Wouge et ses voitures à la queue leu leu. « Quand on sait que Paris existe, je ne comprends pas qu'on puisse de son plein gré...

    Lire la suite...

  • Il est suffisamment rare de voir un film australien sur nos écrans pour s’en réjouir. Enfin, par « australien », je veux dire « natif », sur l’Australie, sur les Aborigènes, habitants du « temps...

    Toomelah, d’Ivan Sen

    Il est suffisamment rare de voir un film australien sur nos écrans pour s’en réjouir. Enfin, par « australien », je veux dire « natif », sur l’Australie, sur les Aborigènes, habitants du « temps...

    Lire la suite...

  • Pendant toute la durée du Festival de Cannes, le site Cinezik, partenaire de Grand Écart, est sur place pour un bulletin quotidien en direct, avec des critiques de films, interviews,...

    Cinezik à Cannes

    Pendant toute la durée du Festival de Cannes, le site Cinezik, partenaire de Grand Écart, est sur place pour un bulletin quotidien en direct, avec des critiques de films, interviews,...

    Lire la suite...

  • La première fois que j’ai rencontré Henry Hopper, ce n’était pas à Cannes, mais chez son papa Dennis. Il pleurait à chaudes larmes. Précisons qu’il n’était âgé que de quelques mois. Dennis Hopper, œil bleu...

    Souvenir de Cannes #5 : les larmes d’Henry Hopper

    La première fois que j’ai rencontré Henry Hopper, ce n’était pas à Cannes, mais chez son papa Dennis. Il pleurait à chaudes larmes. Précisons qu’il n’était âgé que de quelques mois. Dennis Hopper, œil bleu...

    Lire la suite...

  • Sobre, efficace, le premier film de Markus Schleinzer, <em>Michael</em>, sur un pédophile séquestrant un môme d’une dizaine d’années dans sa maisonnette verdâtre de banlieue autrichienne emprunte à...

    Michael, de Markus Schleinzer

    Sobre, efficace, le premier film de Markus Schleinzer, Michael, sur un pédophile séquestrant un môme d’une dizaine d’années dans sa maisonnette verdâtre de banlieue autrichienne emprunte à...

    Lire la suite...