Les WTF de la semaine #1

 

WTF - What the fuck CinémaWTF, ou « What the fuck » pour les anglophiles, c’est une nouvelle rubrique sur Grand Écart qui recense le grand n’importe quoi du septième art. Projets étonnants, casting inadapté, affiche beaucoup trop photoshopée ou scénario ridicule, nous vous ferons régulièrement un tour d’horizon de ces infos ciné qui nous laissent… pantois !

Des castors zombies

Commençons par le buzz de ces derniers jours… Zombeavers, une série plus que Z qui va vous faire hurler… de rire plutôt que de peur. Dans la droite lignée des moutons-garous de Black Sheep (très réussi) ou des requins volants de Sharknado, voici désormais une nouvelle bestiole qui va dévorer les entrailles d’adolescentes peu farouches : le castor (et vu que « beaver » est l’équivalent de « pussy » chez nos voisins d’Outre-Manche, les sous-entendus graveleux ne vont pas manquer). Alors prêts à… bouffer du castor ?


 

Retour vers le futur en… chansons !

Nom de Zeus ! Les Anglais ne sont jamais dépourvus de « bonnes » idées ! Car en 2015, verra le jour à Londres une comédie musicale basée sur Retour vers le futur, rien que ça ! Pile poil pour célébrer le trentenaire de la trilogie culte de Robert Zemeckis. Un projet validé par le réalisateur et coécrit par Bob Gale, l’auteur des trois films. On annonce une histoire différente, mais semblable, ce qui ne veut pas dire grand-chose en soi. Et surtout, le producteur Colin Ingram recherche encore le rôle principal de Marty qui doit savoir non seulement chanter et jouer (la base), mais surtout être beau… Si des candidats sont intéressés, nous ferons suivre !

Et Brokeback Mountain en opéra…

Préparez vos chapeaux de cow-boy et votre vaseline, Brokeback Mountain se décline désormais en opéra. Et c’est à Madrid que ça s’est joué jusqu’au 11 février. Ce qui est savoureux quand on connaît les manifestations rétrogrades qui s’y déroulent en ce moment. Le livret a été écrit par Annie Proulx, l’auteur de la nouvelle originale et les critiques sont plutôt positives, annonçant même un spectacle plus (s)explicite que le film d’Ang Lee. Hi Ha !